mono hito koto logo
Communautés d’espaces
101
post-template-default,single,single-post,postid-101,single-format-standard,theme-stockholm,qode-social-login-1.1.3,qode-restaurant-1.1.1,stockholm-core-1.1,woocommerce-no-js,select-theme-ver-5.1.8,ajax_fade,page_not_loaded,side_area_over_content,wpb-js-composer js-comp-ver-6.0.5,vc_responsive

Communautés d’espaces

Les développeurs, les marcheurs, les cosplayers : le digital et les réseaux sociaux ont permis l’émergence (plus) rapide ou le renforcement de groupes sociaux sous le terme de communauté. Simple utilisateur de Facebook, nous faisons partie d’une communauté de 2 milliards de membres. Aujourd’hui il semble systématique de vouloir (ou devoir) faire partie d’une communauté pour ordonner et donner corps à notre identité. Nous cherchons dans notre développement à comprendre ce qui constitue l’essence d’une communauté d’individus et si cette essence trouvait un équivalent dans des espaces ou des lieux ? Et si oui, nous chercherons à appliquer cette idée à l’objet salon.

 

Ce que l’on trouve à l’origine des communautés ou tribus aujourd’hui semble être plus un état d’esprit, une émotion, ou encore une idéologie plutôt qu’un besoin ou une organisation commune. Des communautés qui évoluent, apparaissent et disparaissent dans une temporalité courte. Peut-on parler d’essence d’un lieu ou d’un état d’esprit ancré dans un espace ? Et dans ce cas, peut-on transposer la notion de “communauté” à des espaces qui partagent le même cadre émotionnel, la même narration ou encore les mêmes codes de fonctionnement ?.

Identité, expérience, essence : communauté d’espaces

 

Un espace n’est fondamentalement pas neutre : par la manière dont celui-ci est conçu ou représenté, il façonne l’atmosphère, l’expérience et par conséquent les comportements des visiteurs

Lire l’article complet sur L’innovatoire